Observation des tortues au Costa Rica

Comment se déroule l’observation des tortues?

Les pontes de tortues s’observent généralement le soir ou la nuit. A Tortuguero l’observation est heureusement très réglementée et bien encadrée afin de ne pas les perturber.

Les tortues du costa rica

Les tortues du costa rica

 

Nous attendons en petit groupe avec notre guide et un ranger du parc dans la forêt, en bordure de plage, tandis qu’un autre ranger nous fait signe dès que nous pouvons approcher la tortue sans la déranger, sur la fin de la ponte. Nous l’observons pondre ses derniers œufs dans le noir avec pour seule lumière le reflet de la lune et la petite lumière rouge du ranger. La tortue recouvre délicatement son nid de sable puis, épuisée, traverse la plage pour rejoindre péniblement la mer.

Le lendemain matin, nous nous levons aux aurores, avant les premiers rayons de soleil, pour observer les éclosions de dizaine d’autres nids et nous émerveillons sur ce miracle de la vie : les bébés tortues quittent leur nid un à un, attirés par les reflets du soleil sur l’eau. Malgré leur petite taille, il ne leur faudra que quelques minutes pour atteindre la mer. Sur la centaine d’œufs que contient un nid, seule une poignée de tortues arrivera à l’age adulte et reviendra pondre à son tour sur la même plage.

Des milliers de tortues sur une seule plage en quelques heures !

Comme chaque année, des centaines de milliers de tortues de mer viennent pondre sur les plages des côtes Caraïbe et Pacifique du Costa Rica, à l’endroit exact où elles sont elles-même nées.

Cinq des sept espèces de tortues marines répertoriées dans le monde ont choisi les plages du Costa Rica pour assurer leur survie : la tortue luth, la tortue verte, la tortue Caret (ou imbriquée), la tortue de Ridley et la tortue caouanne. Leur taille et poids ainsi que les périodes, lieux et fréquences de ponte varient selon les espèces.

La célèbre tortue luth peut atteindre 600 Kg et vient nidifier quatre fois par saison et sur les deux côtes. C’est le plus gros reptile de la planète. Depuis plus de 150 millions d’années, elle parcourt des distances incroyables, elle est par exemple capable de relier les côtes du Costa Rica aux îles Galapagos (3000 km) en moins de 3 mois !

La tortue verte, quant à elle, ne s’observe que sur la côte Caraïbe, en particulier à Tortuguero où elle nidifie 5 à 6 fois par saison, tous les 2 à 3 ans, ce qui permet de l’observer très facilement.

La tortue de Ridley, l’une des plus petites, mais pesant tout de même 40 kg, est connue pour les  » arribas  » , un phénomène naturel lié au cycle lunaire où elles viennent pondre en même temps par dizaine de milliers… plus d’un million d’œufs écloront 45 jours plus tard !

Venez découvrir le Dossier du Trekkeur spécial Costa Rica pour en savoir plus sur cette destination

Les Voyages en Famille avec Terdav

Plus de soixante ans d’explorations ! Nul mieux que Théodore Monod ne connaissait toute la richesse de ces terres que l’on dit arides et qui abritent pourtant une vie d’une infinie richesse. Ce sont des hommes comme lui qui nous montrent le chemin et font avancer notre monde en conjuguant science, découverte et humanisme. En 1983, Théodore Monod s’était rendu dans les sables et la rocaille de sa chère Mauritanie, accompagné cette fois-ci de son fils Ambroise, qui nous a confié un instant intime de ce voyage avec cette photo. Partir en famille avec Terres d’Aventure, c’est aussi marcher, toutes générations confondues, les petits et les grands, ados, papis et mamies réunis, sur les pas du grand naturaliste, pour des voyages de belles retrouvailles et de petits bonheurs partagés.

Laetitia est la maman de Basile (6 ans) et Lilirose (9 ans). Tous les trois sont partis en famille sur le voyage « David Crockett en Haute Bléone » et nous rapporte leur témoignage d’un voyage en famille avec Terdav.

Quand tes enfants sont aussi estomaqués à la vue d’une vache laitière qu’un tigre du Bengale, il est temps de les emmener à la montagne !
Bien sûr au départ, j’étais moins enchantée que ces chères têtes blondes à l’idée de me balader dans les arbres, de fabriquer un arc et des flèches, de marcher sur les traces de Davy Crocket et de construire un tipi… Mais quand nous sommes arrivés à Gaudichart au détour d’un petit chemin gravissant la montagne, mon envie de farniente au bord de la piscine s’est tout simplement envolée. Devant ce paysage à couper le souffle, la sérénité, l’air pur, la source d’eau claire, la petite bergerie perdue au milieu des montagnes, j’ai senti que moi aussi j’allais communier avec Dame Nature.

Voir une sélection des voyages en Famille avec Terdav.

Le bassin minier du Nord-Pas de Calais au Patrimoine mondial de l’UNESCO

Pas grand chose à voir avec le trek ou les voyages d’aventure, mais  le Bassin minier du Nord-Pas de Calais est candidat à une inscription sur la Liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO !
Seul dossier porté par la France cette année, dans la catégorie « Paysage évolutif culturel vivant », il témoigne de la façon dont le territoire a été façonné par 3 siècles d’industrie charbonnière, tout en laissant des témoignages patrimoniaux et paysagers exceptionnels. Décision attendue à Saint-Pétersbourg entre le 24 juin et le 6 juillet !!!

Bassin Minier du Nord Pas de Calais à l'Unesco

 

Tous l’espèrent, tous y croient… Depuis 10 ans, habitants, acteurs institutionnels, touristiques et associatifs, avec le soutien de l’association BMU (Bassin Minier Uni), porteuse du projet de candidature du Bassin minier du Nord-Pas de Calais à une inscription sur la Liste du Patrimoine  mondial , ont contribué à porter haut et fort le projet. Beaucoup l’ignorent  encore, mais le Bassin minier regorge de trésors patrimoniaux et paysagers, qui sont autant de témoignages techniques, sociaux, culturels et  environnementaux de l’empreinte de l’activité minière sur un territoire.

Ce sera la première fois qu’un bassin industriel aussi vaste – 120 km  de long et 4 000 hectares –, riche, dense et préservé, témoin parlant de  l’histoire de la mine durant 3 siècles, sera présenté par la France à la prochaine session du Comité du Patrimoine mondial de l’UNESCO, entre le 24 juin et le 6 juillet 2012, à Saint-Pétersbourg. Et le seul dossier soutenu par la France. Pour suivre le compte à rebours, les événementset actions locales avant, pendant et après la session, les dernières actualités,… BMU vient de mettre en ligne une nouvelle version de son site http://www.bmu.fr. Souhaitons « Bonne Chance ! » au Bassin minier du NordPas de Calais. Verdict fin juin, début juillet !

À moins de huit semaines de l’ouverture de la session du Comité du Patrimoine mondial de l’UNESCO, l’association BMU est heureuse et fière de la mobilisation de tous, depuis 10 ans, autour de la candidature du Bassin minier du Nord-Pas de Calais à une inscription sur la Liste du Patrimoine mondial.

Cette mobilisation et l’exceptionnelle richesse du Bassin minier du Nord-Pas Calais qui, on le souhaite, sera consacré fin juin, début juillet, à Saint- Pétersbourg, sont mises en lumière dans un clip de 3 minutes, visible sur le tout nouveau site de l’association : http://www.bmu.fr. Un site qui permettra de suivre le décompte et les événements locaux jusqu’à l’ouverture de la session 2012, puis, entre le 24 juin et le 6 juillet, le reporting de la délégation nordiste et les délibérations du Comité. Pour tout savoir sur cette candidature, pour connaître les acteurs et porteurs du projet, l’histoire de cette folle aventure, consulter le dossier de candidature, suivre les dernières actualités et surtout soutenir le Bassin minier du Nord-Pas de Calais, rendez-vous sur http://www.bmu.fr !

Un projet de candidature authentique

Projet perçu comme fou, voire utopique, au début de ce qui sera finalement une belle et symbolique aventure, la candidature du Bassin minier du Nord Pas de Calais au Patrimoine mondial de l’UNESCO, dans la catégorie « paysage culturel évolutif vivant » sera examinée dans quelques semaines. Cette demande d’inscription qui, si elle est actée, résonnerait comme une reconnaissance pour les anciens mineurs, leur famille, les habitants, pour ce qu’ils ont fourni et pour les valeurs qu’ils défendent : le courage, l’humilité et la solidarité.

Une histoire dont ils peuvent être fiers et qui est force de vie pour les générations présentes et à venir et pour toutes les corporations minières du monde. Pas moins de 353 éléments (fosses, chevalements, cavaliers, cités ouvrières, écoles, équipements sportifs, édifices religieux, terrils,…) entrent dans le périmètre proposé à inscription, soit 87 communes et 4 000 hectares de paysages impactés. Un héritage issu de l’activité industrielle minière, menée durant près de 3 siècles (jusqu’en 1990), qui a transformé un paysage,  créé des villes et modifié les modes de vie. Au-delà de ce patrimoine technique intact, c’est bien sûr l’empreinte culturelle et sociale (traditions, vie familiale et sociétale) -toujours vive- laissée par cette mono-industrie qui présente également une valeur universelle exceptionnelle.

Un safari au Kenya

Au nord du pays, frontalier avec l’Éthiopie, l’environnement est extrêmement aride. Certaines des populations qui habitent la région se déplacent à dos de chameau, même si ce n’est bien sur pas le mode de locomotion habituel pour un safari au Kenya. Plus au sud, la végétation est présente jusqu’aux steppes arbustives si caractéristiques des paysages africains. Les forêts apparaissent dans la vallée du Rift et des mangroves bordent la côte de l’océan Indien. C’est cette grande diversité de milieux naturels qui favorise la variété de la faune. Les grands parcs sont situés à l’est du pays et sont très souvent proposés pour un trek en complément de votre safari Kenyan. Le mont Kenya (5199 m) est le point culminant du Kenya et le second plus haut sommet d’Afrique.

Un safari au Kenya, ici des girafes

 

Le peuple kenyan résulte du regroupement de nombreuses ethnies. L’indépendance du pays fut d’abord le fait de la révolte de l’ethnie dominante, les Kikuyus. Au nord du territoire, de fascinantes ethnies, comme les Mursis, les Turkanas, les Gabbras habitent la région du lac Turkana. La vieille ville de Mombasa et l’archipel de Lamu rappellent que la côte du Kenya fut une plaque tournante du commerce maritime depuis l’Antiquité.

La logistique d’un Safari au Kenya début souvent par un hébergement en camps privatifs qui vous offre un contact sans barrières avec la nature. Les safaris à pied vous transforment en traqueur de faune sauvage. Nous n’oublions pas pour autant les grands classiques comme le parc de Masaï Mara ou de Tsavo. S’ils sont classiques, c’est parce qu’ils abritent des paysages somptueux et une faune abondante. L’expérience d’un Safari au Kenya passe aussi par le fait qu’il est aussi important de sortir des sentiers battus.

 

La Terre de Baffin

Le ciel sans limites de la Terre de Baffin, le silence, les espaces infinis. Un des sites les plus extraordinaires de la planète, où les montagnes vertigineuses dominent les dentelles de côtes de l’archipel arctique canadien. La terre de Baffin, l’Helluland des Vikings, révélée par Leif Ericson vers l’an 1000, est une île de démesure.
La spectaculaire expression de la nature
Terre de Baffin
Au bout du bout du monde, commence un autre univers. La Terre de Baffin est un territoire figé par les glaces et la banquise plus de huit mois par an. Un lieu où règne le froid intense. C’est ici le monde polaire, la terre de Baffin, traversée par le cercle arctique, immergée dans l’océan glacial. Montagnes déchiquetées, glaciers, calottes glaciaires… que viennent tempérer les tons pastel des fleurs de la toundra, les prés recouverts de mousses et les rivières d’eau de fonte.

Sur cette île presque aussi grande que la France, les visages de la nature s’expriment de manière spectaculaire. Au nord de la Terre de Baffin, les langues glaciaires s’avancent jusqu’à la mer, donnant naissance aux icebergs. A l’est, un pays de montagnes, de glaciers et de fjords profonds qui recèle l’énorme calotte glaciaire Penny. Quant à l’ouest de l’île, les montagnes se transforment en une plaine côtière constellée de lacs, et le sud en un haut plateau rocheux. Malgré le climat rude, cet habitat glacé convient à une faune riche et variée.

La Terre de Baffin possède l’une des densités de population les plus faibles du monde. Quelque 11 000 habitants, petites communautés inuites dispersées çà et là dans cet immense territoire, vivent depuis des millénaires de la chasse et de la pêche dans cette nature inhospitalière. La faune — ours polaire, bœuf musqué, renard arctique ou lemming — est parfaitement adaptée aux conditions polaires. Le harfang des neiges et le faucon gerfaut comptent parmi la centaine d’espèces d’oiseaux qui fréquentent la zone arctique. Dans les eaux, le minuscule krill et l’immense rorqual bleu, plusieurs espèces de cétacés et de mammifères marins. Une vie arctique bien présente sur cette Terre de Baffin, qui est clairement l’un des sites les plus extraordinaires de la planète !

Les peuples de l’Arctique

Voilà 4 000 ans, des nomades, les Pré-Dorsétiens, venus de l’Alaska et de la Sibérie chassent le phoque et le caribou à l’aide de harpons et de lances en os. Pour se protéger du grand froid, ils s’abritent sous des tentes en peaux de bêtes. La population se sédentarise : les Dorsétiens s’éclairent à la lampe à huile.

3 000 ans plus tard, ces groupes laissent la place aux Thuléens, ancêtres des Inuits. Peuple de chasseurs, ils tuent la baleine depuis leur kayak et utilisent des traîneaux à chiens. Les vêtements sont fabriqués à partir de peaux d’animaux pour lutter contre les rigueurs du climat.
Au XIXe siècle, la baie de Baffin est “redécouverte” et l’arrivée d’Européens entraîne un nouveau mode de vie des Inuits : ils échangent techniques, peaux et outils contre des tissus et des armes…

De nos jours, la confection des bottes par les femmes inuites continue, la tradition se transmet. L’industrie minière s’est développée tandis que des parcs nationaux ont été créés.

La Jordanie, entre culture et désert

À l’ouest de la Jordanie, le fossé d’effondrement du Rift africain dessine la vallée du Jourdain et celle de la mer Morte qui, 400 m sous le niveau des océans, est le point le plus bas de la planète. L’épuisement des ressources en eau sera l’un des premiers problèmes de la Jordanie dans un avenir proche. Un gigantesque escarpement nous propulse 1 800 m plus haut sur un plateau où sont installées toutes les villes. Région de cultures céréalières et d’élevage, elle abrite quelques zones de forêt très protégées. De magnifiques gorges avec des rivières entaillent le plateau pour se raccorder à la mer Morte. Dans le parc national du Wadi Dana, on passe des forêts de pins au désert le plus aride. Plus à l’est encore, l’aridité regagne. Au sud de cette zone désertique, les grès étonnamment sculptés du Wadi Rum forment un magnifique paysage tassilien.

La Jordanie est un des hauts lieux de notre civilisation. Au tournant de notre ère, les Grecs, les Romains et les Nabatéens venus d’Arabie, y installèrent de gigantesques empires commerciaux, dont la cité-nécropole de Pétra est le joyau. Enfin, les temps sombres des croisades ont laissé de grandes forteresses, dont certaines sont très bien conservées.

Textes sacrés : Découverts en 1953, les manuscrits de la mer Morte sont les plus vieux textes connus de la Bible. Datés de 200 ans avant J.-C., ils racontent une histoire qui s’est passée mille ans plus tôt. C’est le laboratoire d’EDF qui en a assuré la conservation et à permis leur lecture.

Trek en Islande

L’islande est sans doute une des destinations de référence pour le trek. Si les randonnées en Islande sont généralement faciles, l’environnement climatique joue beaucoup. Et comme chacun le sait, il est changeant : froid sec, air tiède et humide, ondées passagères et splendides arcs-en-ciel, mais aussi lumière arctique à faire pâlir les photographes. Pendant les voyages, vous alternez nuits sous tente et refuges. Votre participation aux tâches liées à la vie du camp est appréciée. Les infrastructures pour la randonnée sont de grande qualité mais rares. Comme le pays regorge de sites spectaculaires, les voyages découverte en véhicule, entrecoupés d’escapades plus ou moins longues à pied, sont privilégiés.

On va en Islande pour s’en mettre plein la vue. Le spectacle est permanent, ça bouillonne partout ! La nature est forte et généreuse en même temps, il y a les sources chaudes, la géothermie. Selon moi, un voyage découverte en voiture et à pied est la meilleure formule pour avoir une approche complète du pays, même si un trek en Islande est sans doute la meilleure façon de découvrir le pays..

Le lac Myvatn est un endroit à part. L’eau est claire, bleue, peu profonde, l’environnement est doux, fait de collines arrondies toutes vertes. Il y a des myriades d’oiseaux migrateurs. Par rapport aux autres paysages, c’est étonnamment calme et reposant. Qui plus est, la région est l’une des plus active sur le plan volcanique, avec le rift qui passe juste à coté, le volcan Krafla encore très actif, le cone du Hfervjall très visible du bord du lac. Notons aussi les bains de Myvatn, qui ressemblent techniquement au blue lagoon, mais beaucoup moins fréquentés et de ce fait plus agréable surtout à la fin d’un trek en Islande.

Blogs de matériel de randonnée

Partir en trekking ou pour une randonnée requiert d’être bien équippé. Il faut penser à sa liste de matériel, savoir comment choisir son sac à dos, quel chaussures acheter, s’il faut prendre des vetements spécifiques, et bien d’autres questions. Je vous présente ci-dessous une liste de blogs ou autres sites web présentant du contenu en rapport avec la préparation d’une randonnée, et plus particulièrement le choix de son matériel de randonnée. N’hésitez pas à me suggérer d’autres sites ou sources d’informations pour compléter cette liste :

3 blogs spécialisés exclusivement sur le matériel de randonnée
http://materiel-rando.over-blog.com/
http://materielrandonnee.wordpress.com/
http://matosrando.wordpress.com/

Des infos sur votre materiel de randonnee présenté sur le site labalablog;

Un article sur le blog de rémi, sur le choix du matériel de rando, à lire ici;

Le matériel pour le ski alpinisme, la randonnée et tous types d’aventure, plutôt axé sur le coté léger, sur le blog de Yann Fleitour

Une rubrique matériel sur un site spécialisé sur la rando-parapente ici;

La présentation du nouveau matériel du rando-aventure;

Pour terminer, sur Journal du Trek, une liste de matériel de randonnée ainsi que les boutiques spécialisées vendant du matériel de randonnée;

Dans les Steppes de Mongolie

La Mongolie est couverte au deux tiers du pays par les steppes. Le nord abrite des forêts boréales annonçant la taïga sibérienne, de grands lacs et de belles montagnes où cascadent les rivières. À l’ouest, les montagnes de l’Altaï, territoire de la chasse à l’aigle, déroulent de grands ensembles glaciaires.
Le désert de Gobi en Mongolie
Au sud, le désert de Gobi, le plus froid des espaces arides de la planète, déploie ses immenses regs où de belles dunes font office de reliefs. La faune est celle de l’Asie centrale : ânes sauvages et antilopes dans la steppe, mouflons et bouquetins dans le désert, cerfs, loups et ours dans les régions plus forestières ou montagneuses.

Un nouveau souffle pour le bouddhisme. Longtemps sous le joug d’un gouvernement pro soviétique, les religieux mongols ont subi comme au Tibet une très dure répression. Aujourd’hui, on assiste à un superbe renouveau du bouddhisme dans de magnifiques monastères.
Randonnée à cheval en Mongolie
Le cavalier mongol fait corps avec sa monture. L’impression est flagrante lorsqu’ils ramassent un objet au sol au grand galop. Au grand Festival de Naadam qui a lieu en juillet, les enfants représentent chacune des tribus dans les courses équestres. Plus légers, ils vont plus vite. Les adultes ne peuvent pas rivaliser. Se présenter les rênes à la main, même si l’on n’est pas cavalier, estobligatoire.